Lui, euh... c'était... Le Chat -- au nom d'une originalité imparable, comme on peu le constater... Ce n'était pas à moi -- ou, plus exactement, l'inverse. Je lui ai tout de même servi de «catsitter» à plusieurs reprises et... je pense qu'avec lui, le «virus des chats» est entré dans ma vie... Le Chat était assez toxon. Il s'est gelé les oreilles au moins une fois, sur le chemin de l'Abitibi, et il a dû disparaître, un jour, dans une ruelle du Plateau, allez savoir...

Puis vinrent les jumelles Butterfly et Brünnhilde, nées en août 1988, filles de Gizmo, chatte espagnole, et d'un... euh... matou de Villeray... (Non, non, pas Le Chat: les dates de réincarnation ne concordent pas vraiment... Encore que, avec les chats...)

Butterfly, au destin puccinien, est retournée au paradis des chats à l'âge de deux ans, au mois de juillet 1990.

Cadeau d'anniversaire pour mes quarante ans, sûrement l'un des plus émouvants, et probablement le plus inattendu de ma vie...

Brünnhilde, sa soeur, était la dernière de la couvée qui restait.

Alors, ben... elle est devenue la «plus value» sur le cadeau de fête...

Brünnhilde -- la Walkyrie -- n'a toujours eu peur que d'une chose: que le ciel lui tombe sur la tête...

... mais comme disait Abraracourcix, c'est pas demain la veille!

Brünnhilde, ici photographiée par David Hamilton...

 

... Et puis Scud -- chatte parisienne, ainsi nommée à cause de son arrivée la veille de la guerre du Golfe, en 1991, et aussi de son tempérament plutôt... sportif!

Rebaptisée Blanche-Neige (!) par sa nouvelle maîtresse de Noisy-le-Sec, Léa, 4 ans. (Photo Yves Dubé)

Gymnopédie (non, ce n'est pas un nom de maladie!), née vers le printemps 1993 (fête officielle fixée au 14 juillet, pour faire changement...), recueillie -- littéralement! -- dans un sac de papier brun lancé par une voiture devant le petit parc de la rue Lartigue...

... devenue grande amateure de foie gras, depuis...

N.B. L'humain dont on n'aperçoit que les mains sur la photo
(conformément aux règles inflexibles de la Grande Minouthèque Virtuelle)
-- il s'appelle Alain et c'est le plus beau mec du monde! --
est, depuis l'arrivée de Gymnopédie dans son sac, le parrain-bien aimé de celle-ci.
Il est également le parrain honoraire de Brunnhilde (qui n'en a jamais eu d'officiel!),
avec qui il partage d'ailleurs le Nutella de ses toasts matutinales (ou... -naux, selon) [photo à venir...]
-- laquelle (mais pas juste pour ça!) l'adore autant que son propre père adoptif
(euh... au double sens de : autant -- sinon plus, d'ailleurs! -- qu'elle adore son propre père adoptif
et de : autant que ce dernier l'adore, lui...)

... et de fruits de mer!

Mais on ne se refait pas, il faut croire, fût-ce en plus... classe!