Le sacré au coeur du social.

L'incontournable facteur religieux


 

Présentation

Il est difficile, de nos jours, d'ouvrir la télévision, de feuilleter un journal ou un magazine d'actualité, de flâner dans une librairie, de passer une soirée avec des amis ou juste de circuler en ville sans que se manifestent de quelque manière - discrète ou spectaculaire - l'étonnante vitalité du religieux dans la culture contemporaine et la perdurance de ce qu'il faut bien appeler le sacré au coeur du social : un jour, c'est par exemple la visite de Jean-Paul II dans tel pays, qui draine d'immenses foules en délire; le lendemain, c'est l'émoi causé par l'arrestation d'un célèbre télévangéliste mêlé à des magouilles financières ou à de croustillants scandales; ou, alors, ce sont les bizarreries de telle secte, sortie d'on ne sait où, qui proclame la fin du monde pour le mois prochain ou qui célèbre les vertus miraculeuses du cristal de roche; ici, c'est un étrange cas de «possession diabolique» que l'on rapporte; là, une tout aussi curieuse apparition - à moins qu'il s'agisse d'icônes qui se mettent à pleurer comme des madeleines... De manière peut-être encore plus proche de notre quotidien, c'est tel ou tel de nos amis qui, après des années de militance politique ou syndicale, se «convertit» au mouvement charismatique; ou telle de nos connaissances qui, ayant tâté de la psychanalyse, du Rebirth, de la Gestalt et de l'acupuncture, passe maintenant des heures assise dans la position du lotus à réciter des mantras. Et c'est encore telle autre de nos relations - à moins que ce soit... nous-mêmes! - qui, tout en ne jurant que par la Science et le Progrès, ne va pas moins consulter un astrologue ou interroger une cartomancienne avant d'accepter un poste d'ingénieur-conseil ou de rompre avec son conjoint...

Pour plusieurs, certes, il ne s'agit là que de survivances archaïques et folkloriques d'un passé révolu, ayant perdu leur sens profond bien que leurs formes extérieures en subsistent encore - tels ces coquillages que l'on trouve parfois au bord de la mer, vides du mollusque qui les habitait. Ou, plus prosaïquement encore, tels d'inoffensifs objets de musée. Pour d'autres, ces signes d'une telle perdurance du religieux ou du sacré, du surnaturel ou de l'occulte, sont seulement la preuve attristante que l'humanité - y compris dans notre monde prétendument moderne et rationnel - a encore du chemin à faire pour s'émanciper de tout le fatras de «superstitions» et de «croyances aliénantes» dans lequel elle s'embourbe depuis la nuit des temps. Pour d'autres encore, cela prouve plutôt que les grandes institutions religieuses - les Églises en Occident, l'Islam du monde arabe - sont encore très fortes, et prêtes à tout pour conserver ce qui leur reste d'influence sur certains secteurs de la société: l'éducation des jeunes, par exemple, ou la morale sexuelle. D'aucuns y verront pour leur part la triste évidence que plusieurs de nos contemporains, insécurisés par toutes sortes de peurs, de la pollution à la guerre atomique, de la récession au sida, sont encore naïvement prêts à se jeter - corps, âme et portefeuille! - dans les bras plus ou moins scrupuleux du premier gourou venu, pour peu que celui-ci offre, en échange, quelque antidote à l'angoisse, quelque baume au mal-être, ou quelque réponse claire aux lancinants pourquoi? de l'existence.

Mais d'autres, qui ont parfois vécu comme un douloureux exil ces décennies modernes où l'on faisait - au mieux - rire de soi en se disant croyant (et, au pire, comme dans les «pays de l'Est» par exemple, où l'on pouvait se retrouver dans un Goulag pour l'avoir dit trop fort), - d'autres ressentiront cette effervescence religieuse contemporaine comme une douce et réconfortante revanche: «Vous voyez bien que Dieu n'était pas mort! Le voici qui revient en force, plus populaire que jamais!» Comme disait l'autre: après Marx, avril... Et, de fait, force est de reconnaître que si, par exemple, la récente libéralisation des pays de l'Est semble avoir fouetté une renaissance religieuse à maints égards spectaculaire, il n'est pas rare non plus de voir nos proches contemporains s'ouvrir de nouveau à des disponibilités religieuses qu'on avait un temps crues enterrées à tout jamais parmi les déchets biodégradables de l'histoire.

Les années soixante et soixante-dix avaient en effet largement éclipsé de notre horizon cette réalité qui semblait condamnée à disparaître à relativement court terme. Nous avions le sentiment d'assister, heureux ou malheureux - en tout cas impuissants -, à l'inéluctable triomphe des grands «maîtres du soupçon» de la modernité: Nietzsche qui, dès la fin du siècle dernier, avait proclamé la «mort de Dieu»; Marx pour qui la religion était «couronne de fleurs masquant les chaînes de l'oppression», «opium du peuple»; Freud qui, pour sa part, y avait diagnostiqué la grande «névrose obsessionnelle» de l'humanité; Sartre, pour qui l'être humain - «seul, sans excuses» - était l'unique responsable du projet de sa vie, du sens de son existence. Les avancées de la technique et des sciences - y compris bien sûr des sciences devenues humaines - semblaient repousser de plus en plus loin ces arrière-mondes peuplés de dieux, chargés de mystère, nimbés de surnaturel...

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Force est cependant d'admettre que, surtout depuis une dizaine ou une quinzaine d'années, les choses se sont présentées de manière quelque peu différente. Elles nous ont souvent permis de mieux voir que si l'expérience religieuse - comme n'importe quelle expérience humaine - peut assurément être vécue sur le mode de l'aliénation ou de la névrose (individuelles et collectives), elle ne se réduit toutefois pas forcément à une lecture aussi unilatéralement et radicalement négative. Force est en tout cas de reconnaître que le «religieux» est loin d'avoir «disparu» de notre univers autant qu'on aurait pu s'y attendre, et que bien des indices donnent à penser qu'il est peut-être au contraire plus vigoureux que jamais - quoique également éclaté plus que jamais en d'innombrables facettes.

Il semble bien en effet que le sacré, qui a animé dans le passé et continue de nourrir bien des formes «traditionnelles» de l'expérience religieuse (le christianisme et les autres «grandes religions», notamment), ait de nos jours tendance à «se déplacer», à surgir dans de lieux de l'expérience qui ne sont pas - pas encore? - «structurés» comme les grandes religions traditionnelles, et que nos distinctions ne nous ont pas non plus habitués à considérer comme de possibles lieux d'une telle expérience. Mais, quand on y pense, le principal reproche que le monde romain adressait aux premiers chrétiens n'en était-il pas un d'«athéisme» et d'«irreligion»? Il importe en ce sens de ne pas restreindre la dimension religieuse aux formes «classiques» qui nous sont plus familières (e.g., le christianisme en Occident) et d'être attentif aux autres lieux où peut également se manifester de nos jours une authentique expérience du sacré.

Une des grandes tragédies des sciences sociales, à cet égard - le terme est fort, mais pas forcément exagéré -, est sans doute d'avoir largement dissocié l'étude du social et celle du religieux, à l'encontre pourtant des grandes figures pionnières de ces sciences sociales - et nous songeons plus particulièrement ici à Émile Durkheim et à Max Weber auxquels renvoie bien sûr le double titre de ce numéro. Si pour Durkheim, en effet, le sacré est bien au coeur du social qu'il fait surgir, cimente et régénère sans cesse, et dont il constitue pour ainsi dire la substance même, la prise en compte du «facteur religieux» demeure, pour Max Weber, un incontournable passage dans l'étude des sociétés et de leur développement. Sans que toutes les contributions de ce numéro soient forcément placées sous le «patronage» de l'un ou de l'autre de ces grands «ancêtres» des sciences humaines - c'est-à-dire à la fois sociales et religieuses -, les lecteurs n'auront pas de mal à y discerner souvent des filiations - tantôt proches et revendiquées, tantôt plus lointaines et plus indirectes - qui témoignent de la toujours actuelle fécondité de ces penseurs classiques.

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Le phénomène auquel s'intéresse ce numéro est immense, touffu, diversifié. Il ne pouvait, de ce fait, être question de prétendre le parcourir de manière exhaustive. Les responsables de ce numéro sont à cet égard bien conscients que d'importants dossiers qui auraient pu y trouver place y brillent plutôt par leur absence: on peut par exemple penser à ce «réveil religieux» d'Europe de l'Est, évoqué plus haut, ou encore à la montée des «intégrismes» dans les trois grandes religions monothéistes (judaïsme, christianisme, islam). On notera également la place assez modeste accordée à la réalité du christianisme - bien que celui-ci demeure la principale forme religieuse de l'Occident. Cela aussi est délibéré, dans la mesure où nous avons aussi souhaité mettre en lumière des formes moins (re)connues de la religiosité présente au coeur du social contemporain.[1] Le choix qui a été fait a en somme été celui de jeter un certain nombre de coups de sonde significatifs dans plusieurs de ces lieux - classiques ou plus neufs - où se manifeste aujourd'hui l'expérience du sacré et où la prise en compte du facteur religieux contribue à une meilleure intelligence du social.

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Les articles de ce numéro ont été regroupés par sous-thèmes en cinq sections: (1) éclairages et perspectives; (2) le christianisme sous observation; (3) quête et expression religieuses dans les pratiques et organisations sociales; (4) sacré et religion au coeur des socio-cultures; (5) expérience du sacré et religion de l'expérience.

Les articles de la première section abordent un certain nombre de perspectives susceptibles de fournir d'utiles éclairages à l'ensemble du numéro. Dans un texte qui pourrait se présenter comme une sorte d'entrée en matière, Guy Ménard montre qu'en privilégiant une rationalité de type scientifique et technique qui a largement désenchanté le monde (au sens que Max Weber donnait à ce mot), l'Occident moderne s'est en fait apauvri d'une autre manière - essentiellement symbolique - de comprendre et d'expérimenter ce monde. Il avance également que c'est dans la mesure où nos contemporains redeviennent actuellement plus disponibles à cet autre type de pensée qu'ils retrouvent aussi, pour ainsi dire, le «mode d'emploi» du sacré.

À cette première proposition répond de quelque manière celle de Roger Lapointe qui avance pour sa part que ce «mode d'emploi» n'est peut-être pas si «naturel», ni réparti de manière homogène dans la population. S'inspirant lui aussi de Max Weber, Lapointe développe une hypothèse selon laquelle que le «talent religieux» serait socialement différencié, c'est-à-dire qu'il y aurait des individus dont la personnalité serait prioritairement religieuse, d'autres qui ne le seraient que secondairement, d'autres encore qui ne le seraient que de façon nominale et d'autres, enfin, qui ne seraient pour ainsi dire pas du tout «doués pour la religion».

Sans trancher cet intéressant débat, Josée Lacourse, qui s'inspire quant à elle de l'autre grand pilier des sciences de la religion, Émile Durkheim, rappelle les grandes lignes de la pensée de l'auteur des Formes élémentaires de la vie religieuse et en explore la fécondité toujours étonnante en analysant une manifestation de cet univers de l'ésotérisme qui fascine et attire plusieurs de nos contemporains

Dans la deuxième section, c'est le christianisme qui, pour évoquer librement le titre d'un récent ouvrage d'Émile Poulat, se trouve à son tour «sous obsevation».

Si la modernité a marqué de son sceau le catholicisme, la post-modernité en fait autant. S'appuyant sur des enquêtes menées en Belgique au cours des dernières années, la sociologue Liliane Voyé conclut en effet que le romantisme, la centralité du quotidien, le mixage des codes, la socialité élective et civile ainsi que le réenchantement du monde ont remplacé, au sein de groupes d'inspiration chrétienne mais désormais distants du catholicisme institutionnel, l'épopée, les lendemains qui chantent, les discours officiels, l'appartenance institutionnelle et le désenchantement du monde.

Le paysage du christianisme contemporain est cependant loin d'être simple et homogène. Anne Morelli le fait bien voir en s'intéressant pour sa part à un phénomène à première vue assez déroutant de notre époque, soit le fait que le Vatican, en particulier depuis le pontificat de Jean-Paul II, ait vigoureusement renoué avec une ancienne pratique du catholicisme en proposant un nombre considérable de nouveaux saints et de nouvelles saintes à la vénération des fidèles. Scrutant attentivement ce qui apparaît bien comme une «politique» délibérée et non comme un simple hasard, elle en dégage une intéressante série de «modèles» qui semblent bien révéler quelque chose d'important sur les grandes orientations sociales et politiques actuelles de l'Église catholique.

Pour André Corten, l'analyse de la situation brésilienne permet de constater la perdurance du religieux au coeur du politique. Corten s'arrête notamment à la notion de «Peuple de Dieu» qui, d'origine théologique, est devenue selon lui un emblème de représentation du politique dont il explore les diverses formules en s'arrêtant plus particulièrement au discours des théologiens de la libération, à celui des communautés eccléssiales de base ainsi qu'à celui du Parti des travailleurs, organisation politique prétendant représenter les «mouvements sociaux» qui travaillent aujourd'hui la société brésilienne.

Dans la troisième section, les auteurs examinent comment la quête de sens et l'expression religieuse traversent diverses pratiques et organisations sociales contemporaines. En étudiant l'émergence et le développement de nouvelles disciplines universitaires telles que la sexologie et la thanatologie, Jean-Marc Larouche montre que celles-ci s'inscrivent dans un mouvement qui va de la sécularisation à la post-sécularisation. Dans cette dernière étape, les sciences humaines retrouvent la vieille étiquette de sciences morales et, pourquoi pas, de sciences religieuses. Pour l'auteur, elles méritent ces titres non pas tant pour leur attention à des objets - en occurrence la morale et la religion -, mais parce qu'il s'agit bel et bien de lieux de la culture actuelle où se manifeste et s'effectue la quête de sens, c'est-à-dire le travail éthico-religieux.

Cherchant à rendre compte de l'identité du travailleur social, Josianne Bodart Senn le présente comme un nouveau clerc. D'une part, celui-ci partage certains attributs accordés au prêtre et au médecin, d'autre part, il tente de recréer du sens à partir du chaos et de l'absurde. Cette aspiration à recomposer à partir des forces vives s'enracine dans une trajectoire familiale et dans une carrière professionnelle où le travail social n'est souvent qu'une étape.

Au Québec et en France, notamment, la question de la religion dans l'univers scolaire ne cesse de soulever les passions et de susciter des débats dont les enjeux - et les paradoxes - sont bien mis en lumière et analysés par Micheline Milot. En toile de fond, la mutation du rapport religion-culture: fin de la religion comme institution englobante et sans communauté réelle, montée des intégrismes, demande parentale pour l'enseignement religieux et l'ouverture au champ symbolique, reconnaissance - enfin - des méfaits d'une inculture religieuse.

Dans la quatrième section, les auteurs nous rappellent que le sacré et les religions sont au coeur des diverses socio-cultures et en explorent quelques-unes de manière plus précises.

Consacrant sa réflexion aux traditions religieuses améridiennes du Canada, Achiel Peelman en montre l'importance - on ne peut plus actuelle - dans le processus de revitalisation sociale, politique et culturelle des nations authoctones d'Amérique du Nord. Il souligne que les ressources religieuses et spirituelles sont «une réalité contemporaine tout à fait apte à s'adapter aux conditions modernes de la vie et à fournir à leurs membres les valeurs dont ils ont besoin pour leur survie dans le monde d'aujourd'hui».

En décrivant une réalité à première vue très exotique aux yeux du monde occidental, les cultes extatiques du Nordeste brésilien, l'article de Roberto Motta, qui s'inscrit lui aussi dans la grande tradition sociologique issue d'Émile Durkheim, met en lumière une fonction sociale du sacré qui a une portée beaucoup plus universelle - comme facteur de cohésion et de renouvellement de la société, de construction d'idendité et d'intégration pour les individus qui en font partie.

Leïla Babes nous fait découvrir pour sa part des aspects peu connus de l'islam, notamment à travers certaines expressions populaires syncrétistes qu'on en trouve au Maghreb et qui, selon elle, témoignent d'une très ancienne disposition des peuples d'Afrique du Nord à absorber différentes traditions religieuses. Ce faisant, elle contribue à briser l'image monolithique et simpliste que l'Occident se fait souvent du monde musulman et du rôle qu'y tient la religion en cette époque où seule, souvent, la montée bruyante des «intégrismes» semble se faire entendre.

Un certain nombre des textes de ce numéro, on s'en rendra compte, ne correspondent pas exactement au genre littéraire habituel des revues «savantes», se rapprochant davantage de celui du témoignage et de l'observation participante ou, alors, de celui du court essai. L'intérêt des sujets qu'ils abordent et la manière même dont ils le font ont néanmoins paru tout à fait justifier leur présence dans ce numéro.

Eve Gaboury nous fait tout d'abord pénétrer avec intelligence et poésie dans l'univers assez fascinant de «sorcières» modernes. Elle montre comment de nouvelles formes de spiritualité émergent comme une sorte de nécessité au sein du mouvement des femmes et de leur combat pour trouver une plus juste place dans la société et la culture. Elle fait également voir comment d'anciennes formes d'expression religieuses issues de traditions préchrétiennes ou «hérétiques» (le paganisme antique, la «sorcellerie» médiévale) peuvent encore exercer une force de fascination et d'inspiration sur plusieurs de nos contemporains.

Dans un texte qui pourrait se présenter comme une note de recherche, Jean Ferreux, oppose le sacré comme «process» dynamique aux «structurations» (ou aux «abstractions») dans lesquelles ce «process» en vient à se cristalliser, à se pétrifier. Il illustre son propos en s'arrêtant à ce qui lui apparaît comme trois «abstractions» significatives du sacré à notre époque autour de l'écologie, de la drogue et du sida.

Enfin, l'article de Dominique Lambert déploie, sous une forme pour ainsi dire «docu-dramatique», l'itinéraire à la fois singulier et représentatif d'une femme de notre époque, d'origine sociale catholique assez traditionnelle, qui est revenue à une pratique engagée du christianisme dans une autre tradition que celle de son enfance, après s'être trouvée activement présente pendant plus de vingt ans à presque tous les grands «rendez-vous» de notre modernité: la révolution sexuelle et le mouvement des femmes, la militance de gauche et l'autogestion politique, la psychanalyse...

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Eu égard à l'ampleur du phénomène religieux et à l'inépuisable diversité des formes - élémentaires ou plus complexes - que celui-ci revêt et déploie dans la culture, l'ensemble de ce numéro, malgré la richesse des contributions qui le composent, ne saurait avoir d'autre prétention que celle de re-poser la question du sacré au coeur du social, comme elle ne sauait avoir d'autre ambition que celle de convier ses lecteurs et ses lectrices à une réflexion - quelque peu neuve, il faut l'espérer, en tout cas jamais achevée - sur l'être-ensemble de notre temps.

 

Jean-Marc Larouche et Guy Ménard

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1 Nous nous permettons par ailleurs de renvoyer à l'excellent numéro de la revue Sociologie et sociétés (vol. XXII, nº 2, octobre 1990) paru l'an dernier sous la direction de Jean-Guy Vaillancourt, essentiellement consacré à la réalité du catholicisme contemporain &emdash; et par rapport auquel nous n'avons pas non plus voulu faire redondance. | retour au texte |

 

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